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Revue de presse
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306 (10 décembre 2003)

- Le mot du modérateur

- Google (2R)

- Image morcelée (2R)

- E-mail sonore (Q)


Le mot du modérateur


Bonjour à tous,

Pour ou contre le morcellement des images : le débat continue, avec aujourd’hui une contribution plutôt contre et une autre franchement pour... Et après les images au sein des e-mails, c’est une question à propos du son intégré aux e-mails qui est posée dans le digest du jour.

Bonne lecture, bonnes contributions et bonne semaine à tous.

Stéphane Carpentier
s.carpentier@abc-netmarketing.com


Google (R)


J’ai une interrogation portant sur Google et sur sa méthode de référencement : je sais qu’au niveau de ses liens sponsorisés le taux de clic impacte le classement de ces liens, mais en est-il de même pour les résultats "naturels" de Google ? Autrement dit est-ce que le nombre de clics sur les résultats non payants de Google influence le positionnement des ces derniers ? Merci de vos réponses. Cordialement.

Bonjour,

De temps à autre on pouvait en effet observer que Google utilisait des urls de tracking dans ses pages de résultats naturels, mais ce n’etait pas systematique. Je pense qu’il s’agissait d’opérations ponctuelles de mesure de la qualité des résultats.

Il semble que en ce moment Google utilise plus intensivement le tracking, avec des URLs du type :
< a href=http://abcnetmarketingv2.cabestan.com/Go/index.cfm?WL=898&WS=23973_24030&WA=183 onmousedown="return clk(1,this)" >.
J’ignore toutefois l’usage précis qui est fait des données collectées. J’imagine qu’il s’agit d’évaluer le comportement des utilisateurs afin d’ameliorer la pertinence des résultats éditoriaux.

Cordialement,

Sebastien Billard,
Votre conseiller référencement
Sumhit / www.sumhit.com
tel : 03.20.63.82.43
fax : 03.20.63.82.00


Google (R)


J’ai une interrogation portant sur Google et sur sa méthode de référencement : je sais qu’au niveau de ses liens sponsorisés le taux de clic impacte le classement de ces liens, mais en est-il de même pour les résultats "naturels" de Google ? Autrement dit est-ce que le nombre de clics sur les résultats non payants de Google influence le positionnement des ces derniers ? Merci de vos réponses. Cordialement.

Bonjour Fédéric

Google, à mon sens, ne tient pas compte du nombre de clics puisque il ne les mesure pas. Quand vous cliquez sur un lien vous tombez directement (sans redirection) sur la page souhaitée. Le Page Rank d’une page, donnée prise en compte pour son classement, ne varie donc pas.

Cordialement

Pierre LE GARREC
Activa’net


Image morcelée (R)


Quel intérêt aurait Promod à découper un email (que je tiens à la disposition des personnes en faisant la demande, comme pour le mail d’Alapage...) en plusieurs parties si celui-ci met plus de temps à se charger ?
Pour répondre à la question de l’e-mailing sur Promod, je pense tout simplement que les "vieilles règles" de l’optimisation des images ont été appliquées sans test préalable. Il y a encore un an, il était dit en effet qu’il fallait découper les images pour les alléger. Mais il a été bien prouvé depuis que le temps de téléchargement peut finalement être plus long. Tout simplement parce qu’il faut appeler davantage le serveur pour un affichage total (1 appel par image).

Le temps de chargement total peut être plus long en absolu, mais il n’y a pas que ça qui rentre en ligne de compte. La « sensation » de l’utilisateur derrière son écran joue aussi dans l’impression de rapidité de chargement.

Dans le cas d’une (relativement) grosse image, il faut (fallait, en fait) souvent attendre que l’image soit chargée entièrement depuis le serveur pour que le navigateur l’affiche. Une image morcelée permet alors une apparition "progressive", qui même si elle dure plus longtemps
au total peut donner l’impression que le chargement est plus rapide (au moins, on voit que le navigateur travaille, au fur et à mesure du chargement). C’est de là que provient cette "habitude".

C’est la même raison qui a poussé les programmeurs des navigateurs à faire afficher la page au fur et à mesure de son chargement, et les images pendant leur chargement. La « sensation » de l’utilisateur est que le chargement est plus rapide, même si au final le navigateur peut se
retrouver à réafficher la page plusieurs fois.

Pour conclure, je dirais juste que le temps de chargement d’une image morcelée a sans doute toujours été plus long qu’une image en un seul bloc, mais l’impression de rapidité était meilleure avec une image morcelée. Aujourd’hui, les navigateurs ayant évolué dans leur fonctionnement, ce n’est plus nécessaire.

Dominique Rousseau
d.rousseau@nnx.com


Image morcelée (R)


Quel intérêt aurait Promod à découper un email (que je tiens à la disposition des personnes en faisant la demande, comme pour le mail d’Alapage...) en plusieurs parties si celui-ci met plus de temps à se charger ?

Pour revenir sur le découpage d’images dans un e-mailing ; outre l’intérêt concernant la rapidité de chargement avec le protocole HTTP 1.1 ; je vois également deux éléments complémentaires plaidant pour la bonne "vieille règle" du découpage des images.

La première est elle aussi technique : La palette de couleur Web n’étant pas infinie et les résolutions d’écran variant beaucoup, la création Web préfère aux dégradés, l’utilisation fréquente de tons directs. Donc afin d’optimiser le poids d’un courrier électronique, plutôt que de créer une image avec de grandes surfaces de couleur unie ; il est habituel de créer une image d’un pixel de largeur et de hauteur (bien plus légère !) et de spécifier dans le code Html, la surface d’affichage à couvrir en l’étirant. Le message qui apparaîtra dans le logiciel de messagerie du destinataire sera donc une mosaïque d’images et de zones vides sur lesquelles nous étirons une couleur unie (comme ce pourrait être par exemple le cas pour le fond de la publicité du sponsoring de la newsletter ABC Netmarketing - là en l’occurrence il s’agit d’une couleur de fond de la balise <TABLE>, mais c’est pour l’exemple ;-).

Le second intérêt que présente le découpage est lui marketing, pour pouvoir effectuer un tracking des ouvertures, des liens cliquer et même éventuellement faire des offres personnalisées (notam. landing pages) ; il faut que nous puissions traiter individuellement différentes zones du message, et c’est aussi tout l’intérêt de découper les images afin de pouvoir en joindre certaines au message, tandis que d’autres sont exécutées depuis le serveur pour des besoins de tracking, de la même façon c’est la possibilité d’offrir plusieurs liens et de tracker individuellement ceux-ci... Certains pourraient être tentés d’employer la balise <MAP> pour inclure plusieurs liens mais il arrive que les coordonnées ne soient pas bien interprétées.

Pour conclure, le découpage reste de rigueur !

Alexandre AYAD
Technologies Marketing
www.technomarketing.fr


E-mail sonore (Q)


Bonjour à tous,

Cela fait déjà plusieurs fois que je reçois des emails accompagnés d’un message sonore. Par simple curiosité d’abord mais aussi parce que le procédé pourrait rapidement m’intéresser au niveau de ma société, j’aurais voulu en savoir un peu plus sur le fonctionnement de ces e-mails.

Quelques interrogations : le format du fichier son : s’agit-il d’un .wav, d’un .mp3... ? Où se trouve-t-il : est-il intégré au sein du message ou stocké sur un serveur ? Comment se déclenche le lancement du fichier son au moment de l’ouverture du mail ? ...

Pardonnez (peut être) la candeur de mes questions, mais étant "limitée" techniquement, j’aurais aimé avoir quelques informations éclairées de la part des membres de la liste. Merci d’avance pour vos réponses.

Elise Fauquembergue
elise.fauquembergue@caramail.com