Le mot du modérateur
Enchères inversées sur les emplois (R)
Fin du marketing viral ? (R)
Offre d’emploi : chef de produit sur Caradisiac.com
Offre d’emploi : project Manager - webmaster chez Citibank
Le mot du modérateur
Bonjour à la liste,
Pour ceux que le marketing viral intéresse (une question portait sur ce thème
la semaine dernière), sachez que le site http://www.culture-buzz.com/ y est
entièrement dédié et permet de connaitre les dernières campagnes à la mode.
Bonne fin de semaine, bonne lecture et bonnes contributions à tous.
Stéphane Carpentier
Animateur / Modérateur
s.carpentier@abc-netmarketing.com
Enchères inversées sur les emplois (R)
> Beaucoup moins drôle : un des membres de la liste parlait il y a peu de
> temps du site allemand www.jobdumping.de qui proposait des emplois aux
> enchères inversées, c’est à dire que le salarié le moins gourmand
> financièrement avait toutes les chances de décrocher un job... Ce
> membre craignait de voir ce système arriver en France et bien ce sera
> (malheureusement) chose faite cet été : information entendue ce matin à
> la radio...
Voici un article qui en parle.
Avec tous mes remerciements pour votre excellente lettre d’informations !
Gali
Le site Jobdumping met en ligne des offres d’emplois où le chômeur qui propose
le plus petit salaire emporte la place. L’arrivée du site est prévue pour la
fin de l’été en France. Par Libération.fr (avec Muriel GREMILLET)
C’est aussi ça l’Europe : jobdumping.de, qui propose aux chômeurs de décrocher
un emploi selon un système de « moins-disant » salarial, ambitionne de s’installer
dans l’Hexagone « en août ou septembre ». C’est son fondateur, Fabian Löw, qui l’a
annoncé lundi.
Le système est simple : un employeur propose un travail, le plus souvent des petits
boulots (jardinage, réparations, aide ménagère), en fixant un salaire maximum pour
la tâche à effectuer. Puis les demandeurs d’emploi font des enchères à la baisse.
On peut ainsi trouver preneur jusqu’à un peu moins de 5 euros pour l’heure de ménage
outre-Rhin. Encore à la recherche de partenaires en France et au Canada pour développer
la version francophone de son site, Fabian Löw, 31 ans, a promis de « respecter la loi
française en matière de salaire minimum » même s’il juge que « ce n’est pas un bon
système, car cela détruit des emplois ».
Pour cet ancien travailleur social, qui se défend de pratiquer un « capitalisme de
vautours » (« Libération du 30 mars 2005), « les salaires allemands sont trop élevés et,
si l’on ne fait rien, nos voisins polonais ou tchèques finiront par prendre tout le
travail ».
Les ambitions de Fabian Löw ne s’arrêtent pas à la France : il négocie actuellement
avec des partenaires locaux pour s’implanter dans les pays nordiques, ainsi qu’en
Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le lancement du site en Allemagne, où le taux de
chômage brut atteint 12%, avait déclenché de très vives critiques, venant aussi bien
des syndicats que du parti libéral FDP, allié de la CDU, à droite.
Une des mesures phare du plan Hartz IV prévoit des « jobs à 1 euro » pour les chômeurs
indemnisés. « Je vous assure qu’il vaut mieux chercher un boulot grâce aux enchères
inversées chez nous plutôt que de prendre un job à 1 euro », tranche le fondateur de
Jobdumping, dont il songe à changer le nom à l’image « trop négative », reconnaît-il.
Le mot « dumping » devrait ainsi prochainement disparaître du libellé du site, remplacé
par la nouvelle adresse lohnauktion.de. Littéralement : « enchères sur les salaires ».
Mais tout de même. « On vit avant de travailler, en Allemagne. Un peu comme en France,
non ? ».
Fin du marketing viral ? (R)
>Bonjour à la liste,
>Autant certaines campagnes ont beaucoup fait parler d’elles il y a quelques
>temps (je pense à Budweiser et Terry Tate notamment), autant aujourd’hui
>on ne voit plus circuler de campagnes de marketing viral en dehors de
>chaînes d’amitié et autres hoax qui eux continuent de tourner...
>Cette technique marketing n’aurait-elle donc été qu’un effet de mode ?
>Existe-t-il à l’heure actuelle des campagnes efficaces de marketing
>viral, ou s’est-on rendu compte que les coûts engendrés par ce type de
>communication n’étaient pas si anodins que cela ?
>Elise Fauquembergue
>elise.fauquembergue@caramail.com
J’ai le sentiment que la tendance semble plutôt à la hausse concernant la
production de films viraux (qui ne reste qu’une partie des pratiques de
marketing viral).
Durant les dernières semaines, aux moins 3 grandes marques ont lancé une
campagne à base de films viraux : 3M avec KingCoach, SNCF avec IdTGV ou
encore Cetelem.
Les campagnes Budweiser Whassup et Reebok Terrytate ont fait un véritable
carton. Les trois campagnes précédentes auront-elles le même succès ?
Encore un peu tôt pour dire.
Ce qui est certain c’est qu’avec le viral, la barre est toujours placée
plus haute.
Stéphane ALLARD
Directeur Associé de Spheeris
Agence spécialisée en Buzz marketing
