Comme cela a été vu plus haut au sujet du seuil de rentabilité des campagnes, une campagne peut être rentable avec un taux de transformation très modeste.

Cela peut donc inciter les émetteurs à se montrer moins stricts dans la définition de leur cible pour toucher un plus grand nombre de prospects.

Là ou un envoi papier se ferait uniquement sur des prospects qualifiés ou des clients, une newsletter est souvent diffusée à des prospects sur lesquels on possède peu d’informations (souvent uniquement l’adresse email).

Le fait que les contraintes de ciblage soient moins strictes a donc également pour conséquence le fait d’alléger les contraintes de qualification des bases.

Bien sur, dans la mesure du possible et dans la mesure ou cela ne se fait pas trop au risque de perdre des prospects, il reste toujours intéressant de pouvoir qualifier ses bases pour pouvoir personnaliser l’offre.

Il convient cependant de noter que l’envoi d’une newsletter à des prospects insuffisamment qualifiés peut éventuellement poser des problèmes de délivrabilité des campagnes.